La gouvernance environnementale territoriale entre la richesse du cadre réglementaire et l’engagement des parties prenantes : l’expérience Marocaine

Authors

  • Sarah FEREHOUN Laboratory System, control and decision (LSCD) Ensit engineering school Tangier, Morocco
  • Fadoua LAGHZAOUI Groupe de Recherche en Gouvernance et Développement Durable (GT2D) Faculté des sciences juridiques économiques et sociale de Tanger Abdelmalek Essaadi University, Tetouan, Morocco
  • Houda CHAIRI HOURRI Groupe de Recherche en Gouvernance et Développement Durable (GT2D) Faculté des sciences juridiques économiques et sociale de Tanger Abdelmalek Essaadi University, Tetouan, Morocco

DOI:

https://doi.org/10.5281/zenodo.7777975

Keywords:

Gouvernance environnementale, instrument juridique, instrument institutionnel, parties prenantes, Maroc.

Abstract

La gouvernance environnementale est un pilier principal pour la préservation de l’environnement et sa viabilité. La majorité des difficultés relatives à l’environnement sont éventuellement liées à une mauvaise gouvernance, au non-respect de la loi, des engagements nationaux et internationaux et de la coopération étroite avec les parties prenantes. Cette recherche passe en revue l'état de l'environnement au Maroc et explore le potentiel de l'utilisation d'instruments institutionnels et juridiques dans la gestion de l'environnement en Maroc, un pays dit en développement.

Les résultats montrent, d’une part, que malgré les efforts déployés par le gouvernement marocain en matière juridique certains domaines restent non réglementés ou la loi et non applicable, et d’autres part, l’implication et la participation des parties prenantes n’aura pas de résultats fiables sans une conscience et un engagement effectif du public.

Published

2023-03-28

How to Cite

FEREHOUN, . S. ., LAGHZAOUI, F. ., & CHAIRI HOURRI, H. . (2023). La gouvernance environnementale territoriale entre la richesse du cadre réglementaire et l’engagement des parties prenantes : l’expérience Marocaine. International Journal of Economic Studies and Management (IJESM), 3(2), 434–451. https://doi.org/10.5281/zenodo.7777975