Le financement du capital immatériel par les mécanismes de la dette : modélisation économétrique -cas du Maroc-
DOI:
https://doi.org/10.5281/zenodo.7821805Keywords:
Capital immatériel, La dette, Mécanisme de financement.Abstract
Au niveau macroéconomique, l’État mobilise des ressources financières afin de concrétiser les investissements en capital immatériel. Ces ressources peuvent être assurées via le recours aux mécanismes de la dette. En prenant en considération les différentes composantes de cette richesse, le déficit enregistré peut impacter sa capaciter a assurer un développement économique. De même, Investir dans le capital immatériel en phase de crise pourrait mobiliser des ressources financières plus importantes et, par ricochet, l’État devrait supporter un cout de financement plus important via la dette. L’une des raisons qui expliquent aussi le déficit dans le stock accumulé du capital immatériel c’est notamment sa caractéristique spécifique de Sunk cost ; ce type d’investissement peut entrainer le risque d’récupérabilité des couts de financement par la dette. D’autres contraintes s’imposent notamment celles liées à la détermination des combinaisons les plus optimales (CO) entre les composantes du capital immatériel qui doivent être privilégiées pour le financement via la dette.
L’objectif de notre contribution est de vérifier la relation entre le capital immatériel et son financement par la dette en prenant en considération les contraintes qui s’imposent au niveau des politiques économiques. Nous vérifierons cette relation d’une part, au niveau théorique et, d’autre part au niveau empirique via une modélisation économétrique appliquée dans le cas du Maroc. Cet article répond à la problématique suivante : Dans quelle mesure le capital immatériel peut-il être financé par la dette au Maroc ?
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