Assignations et performance des régies financières du HAUT LOMAMI : cas de la DGRAD
DOI:
https://doi.org/10.5281/zenodo.7929441Keywords:
Assignations ; eperformance ; régies financières ; DGRAD.Abstract
De nos jours la fiscalité est devenue une composante majeure des Etats. Mieux comprendre les principes fondamentaux en matière fiscales permet au gouvernant d’optimiser ses choix et de définir les contraintes de gestion qui en résulteront
Concernant la mobilisation de ces recettes, il est indispensable de distinguer les différentes sources de celle-ci et d’identifier les problèmes que cette mobilisation pose.D’une façon générale, la mobilisation des recettes publiques dans un Pays est tributaire de l’état général de l’économie c’est-à-dire que le niveau de développement économique et social d’un pays influence le mode de mobilisation des recettes et le niveau quantitatif des ressources obtenues.
L’Etat pour concrétiser ses prétentions a mis sur pieds certaines structures lui permettant de se procurer les ressources financières à travers les impôts, taxes, autres droits et redevances. Pour ce faire, l’Etat a mis en place trois régies financières qui fonctionnent en relation avec le pouvoir central. Il s’agit de la Direction Générale des Impôts (DGI), la Direction Générale des Recettes Administratives, Judiciaires Domaniales et de participation (DGRAD), et la direction générale des douanes et assises (DGDA) et une autre au compte de pouvoir provincial. Tel est le cas de la Direction des Recettes du Haut-Lomami (DRHL), une administration fiscale à vocation purement provinciale.
L’objectif général de ce travail est de ressortir l’impact des assignations à la performance des régies financières particulièrement pour le Haut Lomami.
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